Jamboree mondial au Danemark : on y était !

C’est l’histoire de trois tribus qui se sont jumelées pour aller au jamboree mondial au Danemark durant l’été dernier. Retour sur les grands moments de ce périple sur la terre d’aventure « Rencontres internationales ».
C’est l’idée d’un projet en terre d’aventure « est au sein de la tribu de Douai (dans le Nord) qu’a germé rencontres internationales »: partir au jamboree international au Danemark pour y retrouver 40 000 scouts et guides du monde entier !
La tribu a voté un premier jumelage avec des scouts baptistes (ce sont des scouts protestants) d’Hellum, au Danemark. Mais la tribu de Douai n’est pas partie seule ! Rejointe par les tribus de Recquignies et de Feignies, ce sont finalement 39 scouts et guides et 9 chefs qui prennent l’avion pour le Danemark mi-juillet pour un pré-camp de 4 jours, à la rencontre du groupe danois d’Hellum. Au programme : jeux et activités autour du thème du camp, les Vikings, et visite de Copenhague, la capitale du Danemark. Et c’est au cours de ce pré-camp que le nom de « Douquignies » (fusion des noms de Douai, Recquignies et Feignies) est proposé pour cette tribu d’un été…
Le 22 juillet, la nouvelle « tribu » élargie arrive au jamboree à Sonderborg, une petite île au nord-est du Danemark. Les jeunes se rendent compte rapidement que les scouts danois n’ont pas la même manière de camper qu’eux ! Ils découvrent par exemple les immenses installations danoises : tentes surélevées à trois étages, éoliennes avec batteries rechargeables, mécanismes pour avoir des douches chaudes, etc. Bref, le grand confort !
Il faut également s’adapter au rythme : les Danois se lèvent vers 6 h car les activités commencent tôt, tandis que, le soir, l’extinction des feux est à 23 h. Cela fait des nuits bien courtes pour des journées chargées !
Une autre différence, et pas des moindres : la langue ! Pas facile d’arriver dans un jamboree au Danemark et de s’intégrer sans parler un mot de danois. Mais Agathe, 2e année, résume bien le sentiment général : « La barrière de la langue n’existe pas vraiment, on sait se débrouiller en anglais et il y a toujours quelqu’un pour nous aider à traduire. Alors, il ne faut pas hésiter à aller voir les autres ! »